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The Poule Couveuse dans ses aventures de quasi autosubsistance
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23 janvier 2010

24 décembre 2009

24 décembre 2009

Twas the night before Christmas...

Quel joli poème... Je vous laisse sur ces quelques mots anglais, une petite traduction et je vous souhaite mes meilleurs voeux de Noël, en espérant que ça en soit un beau pour vous tous et toutes!

Twas the night before Christmas.

Twas the night before Christmas, when all through the house
Not a creature was stirring, not even a mouse.
The stockings were hung by the chimney with care,
In hopes that St Nicholas soon would be there.

The children were nestled all snug in their beds,
While visions of sugar-plums danced in their heads.
And mamma in her ‘kerchief, and I in my cap,
Had just settled our brains for a long winter’s nap.

When out on the lawn there arose such a clatter,
I sprang from the bed to see what was the matter.
Away to the window I flew like a flash,
Tore open the shutters and threw up the sash.

The moon on the breast of the new-fallen snow
Gave the lustre of mid-day to objects below.
When, what to my wondering eyes should appear,
But a miniature sleigh, and eight tinny reindeer.

With a little old driver, so lively and quick,
I knew in a moment it must be St Nick.
More rapid than eagles his coursers they came,
And he whistled, and shouted, and called them by name!

"Now Dasher! now, Dancer! now, Prancer and Vixen!
On, Comet! On, Cupid! on, on Donner and Blitzen!
To the top of the porch! to the top of the wall!
Now dash away! Dash away! Dash away all!"

As dry leaves that before the wild hurricane fly,
When they meet with an obstacle, mount to the sky.
So up to the house-top the coursers they flew,
With the sleigh full of Toys, and St Nicholas too.

And then, in a twinkling, I heard on the roof
The prancing and pawing of each little hoof.
As I drew in my head, and was turning around,
Down the chimney St Nicholas came with a bound.

He was dressed all in fur, from his head to his foot,
And his clothes were all tarnished with ashes and soot.
A bundle of Toys he had flung on his back,
And he looked like a peddler, just opening his pack.

His eyes-how they twinkled! his dimples how merry!
His cheeks were like roses, his nose like a cherry!
His droll little mouth was drawn up like a bow,
And the beard of his chin was as white as the snow.

The stump of a pipe he held tight in his teeth,
And the smoke it encircled his head like a wreath.
He had a broad face and a little round belly,
That shook when he laughed, like a bowlful of jelly!

He was chubby and plump, a right jolly old elf,
And I laughed when I saw him, in spite of myself!
A wink of his eye and a twist of his head,
Soon gave me to know I had nothing to dread.

He spoke not a word, but went straight to his work,
And filled all the stockings, then turned with a jerk.
And laying his finger aside of his nose,
And giving a nod, up the chimney he rose!

He sprang to his sleigh, to his team gave a whistle,
And away they all flew like the down of a thistle.
But I heard him exclaim, ‘ere he drove out of sight,
"Happy Christmas to all, and to all a good-night!"

Clement Clarke Moore (1779 - 1863)

C'était la nuit avant Noël 

C'était le soir, à la veille de Noël, dans toute la maison, pas un bruit,
Pas un être ne bougeait, pas même une souris.
Les bas étaient soigneusement suspendus près de la cheminée,
Dans l'espoir que saint Nicolas allait bientôt arriver.

Les enfants étaient blottis dans leurs lits bien au chaud,

Tandis qu’ils rêvaient de sucreries, de bonbons, de gâteaux.
Maman sous son fichu, et moi avec mon bonnet,
Nous nous apprêtions à nous coucher.

Quand, au dehors, sur la pelouse, il se fit un grand bruit,
Pour voir ce qui se passait, je bondis hors du lit.
Je volais comme un éclair vers la croisée,
Et j'ouvris vivement les volets.

La lune sur la neige fraîchement tombée,
Eclairait les objets comme en pleine journée.
C'est alors qu'apparurent à mes yeux éblouis,
Un traîneau miniature et huit rennes tout petits.

Conduits par un petit cocher d’âge mûr, si gai, si réjoui,
Que je devinais aussitôt que c'était Lui.
Plus rapides que les aigles ses coursiers galopaient,
Lui les appelait par leurs noms, il sifflait, il criait.

" Allons, Fougueux! Allons, Danceur !
Allons Fringant et Rieur !
En avant, Comète ! En avant Lumière !
En avant, Tonnerre et Eclair !
Au-delà des porches, au-dessus des gîtes !
Allons-y, au galop, au galop, encore plus vite !"

Comme les feuilles mortes poussées par le vent,
Les  obstacles passant et le ciel traversant.
Ainsi jusqu'au sommet de la maison volèrent les coursiers,
Emportant le traîneau empli de jouets et son cocher.

L'instant d'après j'entendis tout en haut,
Caracoler et sautiller les petits sabots.
Tandis que je quittais la fenêtre et me retournais,
Saint Nicolas descendit d'un bond dans la cheminée,

Vêtu de fourrures de la tête aux pieds.
Ses habits de cendres et de suie étaient souillés,
Sur son dos il avait un sac plein de jouets,
On eût dit un colporteur avec ses paquets.

Comme ses yeux pétillaient ! Comme ses fossettes riaient !
Comme des roses étaient ses joues, comme une cerise son nez !
Sa drôle de petite bouche était tendue en un sourire bon,
Et la barbe blanche comme neige sur son menton.

Il serrait entre ses dents une longue pipe en bois,
Et la fumée formait autour de sa tête une couronne de roi.
Il avait un visage avenant et un petit ventre potelé,
Qui s'agitait quand il riait, tel un bol empli de gelée.

Joufflu et dodu, c'était un joyeux farfadet,
Et en le voyant, je ne pus m'empêcher de m’esclaffer.
Un clin d'oeil et un mouvement de tête,
Me firent comprendre qu’il ne fallait pas que je m’inquiète.

Sans un mot, à la tâche il s’attela,
Remplit toutes les chaussettes ; puis se détourna.
Et posant un doigt le long de son nez,
D’un petit geste de la tête il s'éleva dans la cheminée.

Il se précipita vers son traîneau, et siffla pour faire partir son attelage,
Et il s'envola plus léger que l’air avec son équipage.
Mais je l'entendis s'exclamer avant qu'il ne disparaisse dans ciel :
" Bonne nuit à tous et à tous joyeux Noël !"

(cette traduction me vient d'ici: http://calendria.canalblog.com/archives/2009/10/12/15395951.html)

                   Pere_Noel_408e9

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The Poule Couveuse dans ses aventures de quasi autosubsistance
  • La poule voulant gagner un peu d'autonomie, et étant mère à la maison, s'informa sur différentes façons de vivre en harmonie avec sa famille et ses convictions. De fil en aiguille, elle découvrit plusieurs trucs, donc l'auto-subsistance alimentaire.
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